mercredi 19 décembre 2007

Istantané


Il y a des mots qui, juste à le lire, juste à dire...évoquent tant de choses
Depuis peu, un mot résonne en mon cœur...

5 Lettres qui se suivent...
Juste 5 Lettres, mais quel pouvoir qui se cache derrière

Un pouvoir immense
Capable de soulever des montagnes,
Capable de briser les distances,
Capable de rendre le sourire,
Capable de rendre l'infaisable réalisable,
Capable de rendre l'absence moins difficiles...

Qui ne rêve pas d'avoir ce pouvoir...Ou ne serait-ce que d'être touché par celui-ci...

Certes il peut y avoir un revers à cette médaille...

Mais qu'importe, ce revers...

Juste l'instant de sa résonance vaut tout les maux

Oui, j'aime ce mot, j'aime que ce soit pour Elle que je l'ai redécouvert...

On dit souvent que ce mot vient frappe le cœur sans prévenir, sans chercher...
Mais quand il frappe...c'est si, si...pfff...

Qu'il n'y a pas d'autres mots aussi fort que celui-ci...

AMOUR

lundi 17 décembre 2007

Instantané

(Photographie du Net)
 
J’avais oublié combien Paris, la nuit, pouvait être beau…
En ses jours festifs, de tout feux, Paris s’est paré de ses plus belles couleurs…

A notre passage, et à son regard, je revoyais tous ses lieux qui, pour moi, évoquent un passé que je retrouve peu à peu…

Il est vrai, que depuis tout ce temps, je vois cette ville plus comme un lieu de travail et non un lieu festif, de sortis…

Mes yeux, ne s’ouvraient plus comme ils se sont ouverts l’autre jour…
(Photographie du Net)


Les magasins du Boulevard Haussmann et leurs vitrines animées, Les champs et sa parure de lumière…et la Grande Dame scintillante de mille feux…

Que des lieux si mythiques, si courus et que pourtant je ne voyais plus comme cela…juste comme des lieux ou l’on passe rapidement, sans vraiment s’éblouir de leurs beautés…

Si vous êtes de passage sur Paris, Parisiens, Parigots et même provinciaux…ouvrez grand les yeux…car c’est Beau…Paris….

(Photographie du Net)

vendredi 7 décembre 2007

Instantané

Le Destin, parfois, nous joue des tours…Comme une roue qui tourne

Un jour on est bien, un autre pas du tout, mais on y peut rien.
Le réveil matin agressif, tout comme ce levé plaintif.
Encore des mots pour causer les maux.
Et tout s’enchaîne, et se déchaîne.

Les trains toujours en retard, comme le métro toujours en pétard.
Foule toujours saoule, et les personnes toujours grognionnes.

C’est un Vendredi où tout n’est pas permis.
Un Vendredi qui me meurt à petit feu

Ce feu, peu à peu, s’éteint…à mesure que le temps se fait pluvieux
Une pluie recouvre mon Cœur de sa froideur…

Mais je sais que le Destin tourne…

Et cette roue reviendra apporter la joie…

Alors je me fais une raison, car après tout ce n’est qu’un au revoir…pour ce revoir
Même si je me doute que l'absence sera présente....

Un Au revoir sans ce voir...

Ce n’est pas le miroir aux alouettes, mais une vie super chouette
Qui bientôt, sera là…

Alors las de ses maux d’aujourd’hui, j’attendrais simplement que le temps fasse les choses de demain…

Ce Destin qui m’entraîne, je le prendrais alors à bras le corps pour en maîtriser le ressort…
Malgré les sorts qui m’essore aujourd’hui, je ferai fasse quoiqu’il en ressort

Car je préfère les Lundis aux Vendredis

Je ne suis certes pas Dieu, mais Dieu que les Lundis d’une vie sont beaucoup moins pluvieux qu’aujourd’hui

jeudi 6 décembre 2007

Un matin....Juste en musique



Après avoir cherché un peu...voila la version que je préfère... Il n'y a juste qu'à écouter et regarder...

Cela me fait vraiment quelque chose à chaque fois que je la vois...et encore plus maintenant...

Imaginez simplement...

Écoutez librement...

Et surtout Vibrez ...comme je l'ai pu ce matin là...

mercredi 5 décembre 2007

Un matin...



Il y a des matins que l’on aime bien, et qui reste à jamais présent en soi…
Ce mardi matin en fait parti comme les précédentes passions enivrantes bien sur qui ont précédées ce matin.

6h du matin, Paris s’éveille doucement…

Après le passage de la porte, qui se referme derrière moi, j’allume machinalement une cigarette, le cœur encore rempli d’émotions pour reste tout près…. peut-être, comme sans vouloir vraiment partir et vivre, revivre tout ses émois de la nuit…
Quelle douce odeur cette première cigarette du matin, encore que, est-ce vraiment le matin ou le prolongement de la nuit…
Je redescends la rue, me menant à la voiture. Le sourire recouvre mon visage, le cœur tout léger.
Les rues sont vides à cette heure fort matinale. Seuls les premier travailleurs se pressent à rejoindre le bus ou le métro les menant au travail sans doute.
Paris, au petit matin, a ce goût si étrange, un visage si particulier, j’en avais presque oublié la beauté après une décennie…
Les premiers cafés ouvrent leurs portes, et les saveurs du café chaud parfument agréablement mon chemin.
A mesure que je m’approche de ma voiture, le retour à la dure réalité se fait plus présent. Mais les images reviennent inlassablement et si délicate, me faisant oublier presque ce retour à ma prison d’orée.
Je passe sur le pont surplombant la gare Saint Lazare, je m’attarde un peu, regardant les passagers descendrent des trains…Les voilà déjà courant, pressés de rejoindre le métro pour éviter une foule, qui a cette heure-ci, est plus qu’improbable.
Il est amusant de voir les lumières des appartements « Haussmanien » qui illuminent d’avantage la rue…et d’y voir les décors si impressionnant et si variés… du moderne au baroque, contraste, je pense purement parisien…
Les souvenirs de mon passé s’entrechoquent avec la nuit passée…
Souvenirs plaisants, apaisants
Souvenirs de ses derniers verres pris à pareille heure du matin alors que les percolateurs se mettent en marche…Les Noctambules croisent les « Diurnes »  mais semblent s’éviter…
Ma voiture n’est pas loin, et les brumes de la nuit sont encore bien présentes,
Senteurs, odeurs, chaleurs sont aussi irréelles que cette nuit…nuit tant voulu et tant réconfortante, tant apaisante, tant…tant…
Je monte dans la voiture, allume la radio…et là…comme si une magie opérait, une chanson passe sur les ondes…Une chanson qui me fait dresser les poiles, vibres à plus d’un titre, et qui là, prend encore plus d’importance…

« With or Without You » de U2

Je souris, écoute avec grande attention chaque mot, chaque son, fermant les yeux et me laissant enivrer de cette chanson.
Les images, il y en a des tonnes qui défilent dans ma tête…
Un sourire, des sourires qui s’échangent…
Des mains, des corps qui se rapprochent, et s’éloignent pour mieux revenir, se fondre en un…
Je souris à nouveau, mon cœur est si pris, si vibrant des instants passés…mon corps entier encore couvert de la chaleur...mais je dois partir, il est l’heure…
Les images changent
Les corps qui s’éloignent, les sourires se font plus triste, les voix plus troublées par le départ…

« With or Without You » disait la chanson….
 
Je parts, et à mesure que je passe devant les quartiers fréquenté la veille, je souris à nouveau, un peu triste que tout cela soit finit…mais si bien…un paradoxe, mais un délice à vivre malgré tout…
Et très vite, je quitte ce quartier...Boulevard Haussman, place Vendom, La Condore…la réalité vient vitre effacer, quelques peu, ce passé si ressent…Je me souviens avoir dit à haute voix…il faut que l’on aille là ou encore là…mais hélas, pas aujourd’hui ni demain….mais pas grave cela sera un autre jour, un autre moment…
Puis l’autoroute fait sont apparition, Je file vite, mais pas trop, non pas par peur du Radar, mais pour rester …encore un peu dans ce doux sentiment si précieux, pour ce moment si….si…
Pour ce moment qui ne serait qu'un futur, comme si ce matin n'était pas encore venu ... qu'il sera juste demain.

lundi 3 décembre 2007

Instantané


Regard de l'instant...
Les jours se suivent, mais ne se ressemble pas...


Mais les instants passés reviennent avec toujours le même émois...

Et le rideau se lève toujours un peu plus