mardi 28 août 2007

L'anniversaire d'Amandine (Partie 6...)


Image du Net
Après avoir finit ma cigarette, j’entrepris de faire sortir Amandine de la voiture…

Sachant qu’elle connaissait quelque peu le lieu où nous étions, je pris sa main pour la guider, et fit quelques petit détour avant d’arriver à la porte.

Notre hôte était là regardant par la fenêtre, souriant de ce petit jeu que je faisais vivre à ma douce Fleur de Nacre.

Je laissais alors Amandine sur le perron de la porte, pour retourner à la voiture pour y prendre quelques effets personnels, et surtout son cadeau.

Je rassurais Amandine par quelques mots doux…

J’ouvris la porte et fit entrer ma tendre.

J’avais demandé à notre hôte de ne pas être présent à ce moment, car je savais qu’Amandine pourrait reconnaître aisément ce personnage…juste par l’odeur…

Je déposais les effets, puis je pris la direction, mais encore une fois faisant quelques détours pour perdre Amandine, de la chambre.

J’adorais voir ma chère, troublée par moment par son chapelet, mais aussi par l’appréhension du lieu et des choses qui allaient survenir.

La chambre était parsemée de bougies que j’avais préalablement confiées à notre hôte qui les avait allumé en nous voyant arriver.

Le lit était un lit des plus normal mais dont la tête et les pieds étaient ornés de belles formes de fer forgé…dommage qu’il ne fut pas de baldaquin…sourire…

J’avais laissé la porte entre ouverte…et notre hôte était resté derrière nous à bonne distance, silencieux…et je l’apercevais dans l’embrasure de la porte…

Je plaçais alors Amandine près du lit…

La pris dans mes bras et lui déposa un tendre baisé délicat sur la joue, pour ne pas enlever son merveilleux rouge à lèvre…noir…qui dessinait si bien ses lèvres.

Dans un premier temps, je mis les mains de ma douce dans le dos, elle baissa la tête…

Je la serrais une derrière fois dans mes bras, elle voulu me parler, mais je lui dis de ne plus rien dire.

Je défis alors doucement sa jupe…qui tomba sur ses pieds.

Mes mains vinrent se coller contre ses chevilles et je remontais doucement le long de ses jambes pour entreprendre de libérer sa fleur.

Je devinais facilement que cette douceur et la chaleur de mes mains lui ravissaient et surtout la rassurait.

Arrivé à la hauteur de ses hanches, je me redressais, et en profitait pour à nouveau déposer un baiser dans son cou…sa tête se redressa d’instinct et de satisfaction aussi…

Puis, mes deux mains collés à ses hanches, je redescendis doucement prenant au passage cette étoffe douce…découvrant ainsi sa fleur peu à peu…

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