mardi 19 août 2014

Les plaisirs qui s'100 chaînes (...Fin)

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J'écrasais la cigarette dans le cendrier. Tenant toujours dans le creux de ma paume, la tête de ma Belle.

Je pris une coupe de champagne non loin que l'un de nous n'avait fini.

J'en bu une gorgée.

Ma main releva la tête de la Belle.

Je présentais ce divin nectar à ses lèves, et je l'y aidais, attendris de la voir ainsi dépendante volontaire de mes gestes et de son bien-être.

Je reposais la coupe, et souris au geste délicat et sensuelle de la langue de ma Belle sur ses lèvres, ne gâchant rien jusqu'à la dernière goutte...

Je fis quelques tours de main sur la chaîne jusqu'au collier, puis tirant à moi cette divine créature, j'approchais mes lèvres des siennes.

Nos lèvres s'unissaient, et le balle de nos langues suivait la musique si présente.

Je voyais cependant les traits quelques peux fatigués et tirés... ainsi que l'heure qui tournait.

Je me redressais, et tenant toujours près de moi dans cette étreinte délicieuse ma demoiselle, je l'aidais à se redresser.

Nos lèvres ne se quittaient pas...

Ma main libre parcourait avec douceur la chevelure de ma « prisonnière ».

Puis, elle descendit doucement le long de son dos, juste effleurant des ongles cette peau de satin, suivant le dessin de la colonne, jusqu'à arriver à la naissance des Lunes.

Elle avait les yeux fermés, mais son corps ondulait comme une Chatte que l'on caresse. Suivant, cherchant en chaque instant la pression marquante de ces griffes qu'Elle aimait tant.

Puis, la main vint, dessinant une parallèle au sol juste au dessus d'une Lune, sur le devant.

Passant sur sa hanche, Elle se cabrât sur le cotés, souriant par l'effet de chatouillis que cela lui provoquait.

Puis, à hauteur de son triangle d'Or, elle prit la direction montante d'un seul doigt, vers ses délicieux monts, effleurant son nombril.

Arrivant à la chaîne qui tenait prisonnier ses pics, le doigt suivi cette chaîne vers l'une des étreintes. Et d'un coup, je délivrais le premier pic, lui arrachant un souffle de soulagement.

Puis je délivrais le deuxième....

J'embrassais alors, tour à tour, ses « douloureux » avec délicatesse, apaisant, de ce geste, l'étreinte provoqué...

Elle murmura un « Humm » de satisfaction, me faisant sourire...

Puis brusquement, je m'arrêtais.

Je me redressai, approchai vivement le visage de ma Belle pour engloutir ses lèvres.

Elle savait que ce n'était pas la fin de son tourment...Elle attendait avec une envie certaine d'une suite qu'Elle devinait plus sauvage...

Mais là ...est une autre histoire...

1 commentaire:

  1. Pas bien de fumer Monsieur roooooooooh lol ;)

    Beaux récits que voilà, même si je n'ai pas encore tout lu Monsieur, loin de là, au plaisir de vous lire à nouveau ça et là Monsieur

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