mardi 20 novembre 2007

Les portes qui s'ouvrent (Partie VIII)


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La suite se passa rapidement...
Nous revêtions la Belle de sa robe, puis de son corset..d'ailleurs, nous étions pas trop de deux pour lui serrer fermement ce belle objet. Elle avait alors une belle taille, dessinée à merveilleux par cet écrin de cuir...

Puis, B. la détacha et nous quittions alors la chambre, la Belle tenue en laisse par B.
Tout le long du chemin qui nous menait vers la pièce indiquée par Madame A., nous croisions de ci de là, de belles créatures et de beaux mâles...enfin bien habillés..sourire
Certaines personnes étaient cagoules, entravées par des liens..c'était des plus impressionnant..A la fois, de part certains, le voyage dans le temps étaient vraiment dépaysant, par d'autres, j'avais plus l'impression d'un défilé fétichiste qu'autre chose...
Arrivé à notre destination, B. frappa et attendit que l'on nous ouvre.
Dans la pièce, il y avait du monde. Je compris rapidement que ceux qui étaient assis, étaient sans aucun doute les "dirigeants", tandis que ceux debout étaient les "complices".
Madame A. vint à notre rencontre, regarda sa complice et nous remercia gentillement.
B. me fit signe de sortir...la porte se referma sur nous.
J'étais un peu déçu, car je ne savais pas, ou plus exactement je ne comprenais pas le fait de ne pouvoir "assister" à la suite des évènements...
B. me pris la main et m'expliqua que ce salon était réservé qu'à ceux qui sont déjà "initiés"...
Et B. alors pris l'initiative de me faire découvrir les lieux.
Elle me fit découvrir certaines "salles" dont le sujet variait du simple salon, à la salle gynécologiques...et m'expliquait alors l'utilité de tel ou tel objet...
Cependant, je restais des plus frustrés de ne pas voir sans pour autant participer...
Puis vint le repas de midi, ou nous rejoignons alors l'ensemble des "Valets".
Puis l'après midi passa rapidement, avec quand même quelques présentations ...mais là encore, la frustration était grande, car rien, mais alors rien ne se passait...ou plutôt, je n'étais que simple spectateur...une grande frustration, mais j'avais au moins la chance d'être accompagné de B. qui m'expliquait le pourquoi du fouet, l'usage de la croix de Saint André...
Elle me fit également une démonstration de chaines mis à disposition sur le mur...mais la frustration aidant, je ne fis rien.

Vers les 18h, une cloque retentit dans l'ensemble du château indiquant alors la fin des festivités...pour ceux qui y participaient, et aussi l'annonce du repas à venir.
B. me déposa un tendre baiser sur la joue, comprenant surement ma frustration bien grande...et me dit alors...
"Pourras-tu être mon cavalier ce soir ?"..avec un sourire fort plaisant, tout en retirant son masque...
Et je pus alors admirer son visage et son regard...qui me laissa fort songeur...mais dans le bon sens du terme
"Bien sur, et cela sera avec grand plaisir".

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