mardi 20 novembre 2007

Les portes qui s'ouvrent (Partie VII)


Image du Net
B. pris dans sur la table de nuit, divers outils de maquillage...
Elle commença par poudrer la Demoiselle.

Cette dernière, gardait les yeux fermés, et je restais admiratif du travail de B., qui avec beaucoup de délicatesse, parcourait le corps ainsi offert. Par moment, notre proie attachée, esquissait de petit rires, chatouillée par la petite brosse qui passait sur des endroits sensibles.
B. me voyant attentiste, me proposa de prendre la suite...
J'étais là aussi pour apprendre, bien que la situation était un peu différente de l'idée que je me faisais de ses débuts...car il est vrai que j'ai plus l'habitude de déshabiller une personne que de faire totalement l'inverse...

Je m'approchais alors de la Damoiselle, et je commençais, très gauche, à poudrer le corps. Pour la première fois, depuis que B. s'occupait d'Elle, elle ouvrit les yeux. Je me souviens de son regard taquin, et tendre à la fois. Un sourire se dessina aussi sur son visage, comme pour me dire "N'ai pas peur, je ne ferais rien..."...

Après quelques coups de brosses, B. parfuma la belle. Puis vint l'instant de vêtir ce corps nu.
B. me tendit l'instrument de torture...j'étais relativement mal, comment devais-je m'y prendre. Je n'avais jamais utilisé cet objet...mais bon...encore une fois, pas de marche arrière possible...

Je commençais par le début, passant les deux jambes dans leurs emplacement. Puis arrivant à l'orée des antres, j'étais des plus hésitant...
B., devant ma gène, me conseilla de prendre le temps d'ouvrire les "portes" de derrière et d'y aller doucement sans aller jusqu'au bout.

Je me pencha donc sur l'arrière, écartant doucement les monts. Et bizarrement, l'entrée était déjà entre-ouverte. Je présentais alors ce Graal, qui pris vite place. J'entendis les chaines cliqueter par la tension des Bras, et la respiration de la Belle se fit caractéristique du plaisir.
Je passais alors devant, et là, je constata que la Rose, nue des "ronces",  était déjà couverte d'une fine Rosée.

Je présentais alors ce second Graal, qui, comme le premier pris rapidement place...
B. m'écarta un peu, et nous laissions là, un instant, cette Femme savourer cet instant plaisant. Puis B. se plaça sur le coté de la Belle, et me dis de me mettre de l'autre coté.
Elle me fit signe de remonter rapidement l'objet...ce que je fis..
Les chaines, à nouveau, se mirent à cliqueter et nous pûmes entendre ce plaisant gémissement si particulier...

Les yeux Fermés, la Belle se mordillait la lèvre. Et à nouveau B. me fit signe d'attendre pour qu'elle savoure à nouveau cette objet en Elle......

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